"Dans un monde où Horizon n'a jamais été un jeu, la Coalition, l'Ordre et l'Empire se livrent une guerre sans merci. Mais que se passe-t-il lorsque les prisonniers de cette dernière faction sont torturés et mis à mort par simple amusement par deux alchimistes lâches et fourbes?"
Ou ce que donne l'addition ennuie + défies entre amis fan de Noob et d'histoires gores. Donc attention, les oneshots suivants contiennent des scènes violentes et plutôt graphiques concernant les morts de différents personnages de l'Ordre et de la Coalition. J'en ai déjà six, je vais poster les trois premiers et si quelqu'un est intéressé je posterais les suivant et je prendrais les demandes.
1. Dark Avenger : Injection létale
Les sangles. Ces foutues sangles. Bartémulius et Nostariat qui l’observent. Comme un lapin en cage. Son torse et son ventre en sang. Découpés. Déchirés. Recousus. Leurs outils sur un chariot. La table de dissection. Dissection sur un être vivant. Vivant. Opération sans anesthésie. Le sang sur le sol. La table. Les mains. Les vêtements. Les os. Exposés. Visibles. La souffrance. Omniprésente. Le froid. Le désespoir.
«Je crois qu’il n’y a plus rien à en tirer.»
La seringue. Le poison. La seringue qui passe d’une main à l’autre.
«Le mieux c’est de s’en débarrasser avant que le corps ne pourrisse et n’empeste tout l’atelier… »
Le liquide. Transparent. Epais. Qui monte dans l’aiguille.
«Bartémulius tiens-lui la tête, il va sûrement bouger.»
L’aiguille. La folie. Il veut se battre alors qu’il ne peut plus. La pointe perce la peau du cou.
«Voilà, reste tranquille.»
Le poison remonte les veines. Inonde les poumons. Bouche le cœur. Empoisonne le cerveau.
«Là, c’est finit.»
La douleur s’amplifie. Les tempes font mal. Atrocement. Le cœur s’arrête. Il suffoque. Suffoque. Tout se trouble. Tout tourne. Le cœur s’est arrêté. Douleur. Effroi. Folie.
Souffrance. Black-out. Décès.
«Ça y’est.»
Un autre cobaye à la poubelle.
2. Nazetrîme : Eléctrocution
Elle était trempée, grelottante et tétanisée. Qu’avait-elle fait pour mériter ça?! Depuis quand l’Empire était-il aussi cruel avec ses prisonniers? Bartémulius repartit par où il était entré, emportant avec lui les seaux d’eau vides. D’une main tremblante, elle effleura l’étrange collier en argent qu’elle autour du cou. Il était relié au mur par deux câbles et vibrait doucement de temps à autres.
C’est alors qu’une décharge électrique aussi soudaine que violente secoua son corps tout entier. Elle poussa un cri strident alors que son corps était pris de spasmes incontrôlables et se tordit de douleur sur le sol humide. Le courant diminua peu à peu au bout d’interminables secondes, laissant Nazetrîme tremblante et respirant avec difficulté.
«Pitié… Arrêtez… Pit- AAAAH !!! AAAAAH !!! PITIE !!»
Nouveau choc, plus puissant encore. Le corps prit de soubresauts et de spasmes. Les cris, les pleures, la douleur. Le cou brulé et en sang.
Pendant des secondes. Des minutes. Une heure entière.
Et enfin, dans un cri déchirant, le cœur malmené de la cartomancienne s’arrête. Les chocs suivant sont inutiles, incapables de le faire repartir.
Bartémulius sort son calepin et prend note.
«L’expérience est concluante.»
Un autre prisonnier trop exploité.
3. Précieux : Privation des sens
«Pitié… Pitié…»
Sa tête penchait sur le coté, son nez en sang brisé et déchiqueté de l’intérieur déversant un flot d’hémoglobine incontrôlable. Bartémulius déposa les deux drilles mécaniques usagées sur un plateau tandis que Nostariat en tirait deux autres, neuves et plus fines de sa besace.
«Je vous en supplie… Arrêtez… »
Bartémulius émit un ricanement sinistre.
«‘’Les ennemis de l’Empire doivent périr !’’, sans exceptions. Mais notre devise ne précise pas comment.»
Il saisit une drile et la poussa lentement dans le conduit auditif de gauche tandis que Nostariat s’occupait de celui de droite. Les pleures du mage redoublèrent lorsqu’il comprit ce qui l’attendait.
«Non, pitié! Pitié! Arrêtez! Pas ça! Arr- AAAAAAH!!!»
Les driles lui déchiquetèrent les tympans et l’intérieur des oreilles avec une extrême cruauté. Précieux sursauta à plusieurs reprises en hurlant de douleur, privé de son ouïe. Il fut incapable de retenir ses larmes tandis que les deux tiges de métal étaient arrachées de ses oreilles. Sa tête était comme sur le point d’éclater, sa vision troublée par la douleur. Bartémulius et Nostariat discutaient paisiblement en fouillant dans une caisse à outils. Précieux pencha lentement sa tête légèrement sur le coté, laissant une cascade rouge déferler de son oreille.
«Pitié… Tuez-moi… Achevez-moi…»
Il n’entendait même plus sa propre voix. Bartémulius ne se donna pas la peine de répondre et approcha une petite machine rectangulaire des yeux du mage. Celui-ci voulu reculer sa tête mais Nostariat le tenait fermement en place. La machine comportait un trou pour chaque œil et fut pressée contre son visage de manière à garder ses paupières largement ouvertes.
«Je vous en supplie… Pitié-»
Il eu à peine le temps de terminer sa phrase qu’une puissante lumière pourpre jaillit de l’appareil directement dans ses rétines. Il pouvait sentir ses yeux bouillirent dans leurs orbites et hurla de terreur en tentant désespérément d’échapper à ses tortionnaires. La machine ne fut retirée qu’au bout d’interminables minutes de tortures, alors que les deux globes avaient sévèrement brûlés. Précieux avait perdu la vue et n’était même plus capable de pleurer tant la douleur était intense. C’est à peine s’il réagit lorsqu’une large pince rouillée fut forcée dans sa bouche. Elle se referma allègrement sur sa langue et le muscle fut alors violemment arraché, causant une grave hémorragie.
Tandis qu’il se vidait de son sang, Précieux sentit qu’on lui injectait différent produits. Ses nerfs étaient en train de lâcher un-à-un, achevant lentement sa souffrance. Il perdit connaissance avant de finalement passer l’arme à gauche, sous le regard de Bartémulius et Nostariat.
Un autre jouet cassé.