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dans Annonces officielles (18 réponses)
Publié par Valk, le 21 January 2020 - 22:53
dans Made in fan (9 réponses)
Publié par Ophaniel, le 10 January 2020 - 12:28
La néogicienne amoureuse ? II
Une possible suite des épisodes précédents |
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CHAP 18 POURQUOI MOIIIIIIIII ? |
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CHAP 19 POURQUOI MOIIIIIIIII ? |
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Hôpital Georges Pompidou. POURQUOI MOIIIIIIIII ? |
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CHAP 20 POURQUOI MOIIIIIIIII ? |
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CHAP 21 POURQUOI MOIIIIIIIII ? |
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Chapitre 22 Hopital Georges Pompidou Karumiko n’en revenait pas. Alexandra était là, endormi dans le lit voisin, sa poitrine se soulevant et retombant au rythme de sa respiration. Une fois de plus elle tendit la main et fut rassurée par la tiédeur de ce corps qu’elle avait vu tomber, criblé de balle, une mare de sang répandue… Un grattement à la porte détourna son attention. Avant même que le visiteur n’entre, elle su de qui il s’agissait, et un peu plus de lumière réchauffa son cœur. - Karumiko (à voix basse) : Salut papa ! - Tempo (sur le même ton) : Salut ma grande… comme je regrette de n’avoir pas été là ! - Karumiko : comment aurais-tu pu le savoir ? - Tempo : héhé… je viens pour vous soutenir et c’est toi qui me remontes le moral… - Karumiko : A ta disposition pour compléter ça avec ma spécialité : la câlinothérapie renardesque ! - Tempo : peut-être plus tard et à un autre endroit pas sur qu’ils apprécient la présence d’animaux dans les chambres des malades… - Karumiko : Hum… ils ont pourtant l’air habitué à ce que nous sommes… - Tempo : en parlant de ça, tu veux qu’on en discute ? - Karumiko : de quoi ? - Termpo : de ce qui t’est arrivé dans le parc… - Karumiko : oh, ça… très franchement j’ignore ce qui s’est passé, comment ça s’est passé et pourquoi ça s’est passé… et ça me fait carrément flipper. - Tempo : si ça peut te rassurer, je me doutais que quelque chose clochait… - Karumiko : comment ça ? - Tempo : tous ces tests au wzp, tu t’en souviens ? - Karumiko : oui… - Tempo : une des conclusions était que ton plein potentiel était bloqué… je crois que tu as fait sauter le verrou… cette très forte concentration d’émotions violentes a été surement le déclencheur. - Karumiko : Je n’ai que peu de souvenirs… mais selon les témoignages, je serais devenu un genre de démon complètement taré… je… j’ai peur… je ne contrôle rien ! - Tempo : j’ai fait quelques recherches. Beaucoup de légendes traitent des yokaï : la plupart les décrivent comme des démons mineurs ou des esprits… certains bénéfiques, d’autres au contraire maléfiques. Les textes ne s’accordent pas. Mais il se trouvent que certains parlent de yokaï supérieurs aux autres… des esprits ou démons d’un calibre supérieur à la puissance immense. - Karumiko : hum… mais tu ne me dis pas tout… - Tempo : Toujours aussi perspicace. Ces « démons » sont pour la plupart mauvais, destructeurs… - Karumiko : oh merd*** - Tempo : j’ai dit la même chose. Mais mon instinct, qui est plutôt bon en la matière, me dit le contraire en ce qui te concerne. Et les éléments recueillis dans le parc prouvent que tu n’as pas massacré tout ce qui t’entourait, mais t’es concentrée sur la protection des blessés auxquels tu tenais. Les démons des légendes auraient tué tout le monde sans distinction… - Karumiko : en parlant de ça, on fait quoi pour poussin ? - Tempo : j’en sais rien… ça en discute encore au plus haut niveau… Donnez du pouvoir à un comité… et tout sera dix fois plus long ! - Karumiko : je ne sais pas si je vais pouvoir tenir longtemps ici à ne rien faire… et je ne veux pas quitter maman… (un sanglot) j’ai failli la perdre ! Le grand homme au lunettes violette sera la jeune fille dans ses bras. - Tempo : chut… là… Et puis tu ne vas pas t’ennuyer il y a un nouvel éveillé dont tu vas devoir t’occuper… - Karumiko : moi ? Mais je n’ai même pas pu m’occuper correctement du premier ! Et puis je ne veux pas m’éloigné je t’ai dit ! - Tempo : tu ne t’éloigneras pas… il est ici, dans cet hôpital… et ta maman lui doit la vie. - Karumiko : tu veux parler de ce toubib en costume du 19è siècle ? - Tempo : lui… oh non… il est hors catégorie de toute façon. Les boss m’ont bien expliqué en insistant de ne surtout pas le contrarier de quelque manière que ce soit. Sois prudente avec lui ! Non, il s’agit d’un autre patient. - Karumiko : Bah, il a sauvé maman ! Je ne peux qu’aimer ce type… ou cette nana ? - Tempo : c’est un garçon… plus âgé que toi mais moins que ta maman. Il va être mis ce soir en chambre 116 d’après mes informations. Quand tu pourras, vas le voir. Tiens, tu trouveras les infos du centre sur le bonhomme dans cette enveloppe. Je dois malheureusement filer. Salue ta mère quand elle se réveillera. Oh, j’oubliais… j’ai enfin un nouveau portable. - Karumiko : refais-moi un câlin… A quelques étages de là - Nox : pinces… merci - Dr No : là, regardez… Bon, va falloir récupérer un lobe du foie… - Mlle Scarlet : mais qu’est-ce qui a pu arriver à cette pauvre femme ? On dirait qu’elle est passé dans un hachoir… - Mlle Nya : La perforation à la cuisse gauche saigne de nouveau… - Dr No : quelle poisse ! C’est pas possible dès qu’on répare un bout, un autre nous lache… - Nox : Monsieur, là regardez, sous le poumon gauche… on dirait… j’en sais rien, c’est tout noir et ça bouge ! - Dr No : Oh ! Nox, mon petit, vous êtes un génie ! Mlle Scarlett, passez-moi ce tube en verre. L’aide-soignante s’exécuta. Elle fut surprise de ne ressentir aucun dégoût lorsque le chirurgien se mit à aspirer l’étrange substance comme s’il vidait le contenu d’un verre à la paille. - Nox (chuchottant à Mlle Nya) : c’était quoi ? - Mlle Nya : aucune idée ! C’est la première fois que je vois ça… - Dr No : c’était une sorte de malédiction. Certaines personnes ont le pouvoir de générer le chaos autour d’elle… j’en connais une en particulier qui est déjà venu foutre le souk ici… - Mlle Nya : la folle qui a fait sauter le dirigeable ? - Mlle Scarlett : c’est quoi cette histoire de dirigeable - Mlle Nya : l’explosion du générateur, tu t’en souviens ? - Mlle Scarlett : oui ? - Mlle Nya : c’était pas un générateur… - Nox : foie prélevé ! - Dr No : c’est parti… allez y Nox - Nox : merci docteur ! Scarlett ? Les écarteurs… Édité le 25 March 2019 - 20:48 par Heretoc POURQUOI MOIIIIIIIII ? |
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Chapitre 23 Epita – 3ème année cours de codage Indoril parcourait tranquillement les couloirs de l’établissement pour rejoindre la salle 116 où un cours sur Javascript devait l’occuper pour la prochaine heure. Elle anticipait l’endormissement que la voix monocorde du prof, Monsieur Aaura, ne manquerait pas de provoquer. La matière était ardue, et la voix lénifiante de son enseignant n’arrangeait pas les choses. Elle eu un soudain mouvement d’arrêt… Les trois nouvelles teignes qui avaient décidées, que puisque le champ était libre depuis la disparition de Xavier et la guerre froide entre les pipelettes, sa petite personne redevenait une cible à tourmenter, était déjà devant la porte ouverte de la salle. Trop tard, l’œil perçant d’Hugo, le blondinet de la bande venait de la repérer, et un sourire mesquin se dessinait sur ses lèvres. Un mot de lui et son complice aux cheveux teints en bleu, Adrien et sa copine, une blonde ultra sexy, Kassandra, se retournèrent, l’œil brillant de malice… - Kassandra : si mon boule avait une telle ampleur, je ne saurais vraiment pas comment passer les portes… Les ricanements des deux gars firent piquer un far à Indoril et monter les larmes à ses yeux. Pourquoi fallait-il que le sort s’acharne ainsi sur elle ? L’heure de cours passa trop vite, et la pause fut un véritable calvaire pour la jeune étudiante. Elle avait choisi ce jour-là un top qui lui plaisait beaucoup et mettait en valeur sa poitrine… les réflexions sur son désespoir affectif qui l’obligeait à racoler les gars à la sortie en exposant ses « boubs » eurent raison de ses dernières réserves de patience et de courage. Elle finit une fois de plus par fuir ses harceleurs. Les larmes brouillant sa vue, elle se précipita d’un pas rapide hors de l’école. Il fallait qu’elle parte loin… Dans sa tête les ricanements de Kassandra lui vrillaient le cerveau. C’était facile pour elle qui était éligible au concours de Miss France ! Toutes les autres filles de l’école ne valaient pas un clou à côté… Mais c’est elle, une fois de plus qui se retrouvait être la tête de turc… Elle attrapa le premier métro et se laissa porter le long des tunnels, sans trop savoir dans quelle direction… elle devait partir… le hasard l’amena à Balard. Sortant de la rame, le cœur noyé de tristesse et de dégout, elle grimpa le premier escalier, sans regarder pour où puis suivit une vieille dame qui promenait un caniche nain blanc aux poils mouchetés de crasse. Un endroit étrange… tout est noir Un bruit… un bruit répétitif… pire qu’une sonnerie de téléphone… un genre de « bip » aigu… Mais quel crétin pouvait ainsi appuyer sans cesse sur la même touche de son clavier de synthé ? Non, pas un bruit de synthé… autre chose… l’impression de baigner dans le coton avec un début de migraine… Ah ! Si elle tenait ce salaud avec son bipeur… et un extincteur… Ah… changement de rythme des bips… Mais pourquoi…elle ne peut pas bouger…Oui, elle est « elle »… et cette fille qui… Ah ! pourquoi le souvenir s’enfuit ? C’est trop frustrant ! Nouvelle accélération des bips. Tient ! On ouvre les rideaux on dirait… oui cette lueur rose… Aaaahhh ! Ses yeux sont fermés ! Mais… comment les ouvre-t’on ? Une voix grave… presque hypnotisante… des mots répétés doucement. Cette voix… LA PEUR ! Avec la peur les bips s’emballent… Une sensation chaude et douce sur la joue… La peur se calme, mais n’est pas loin… La lumière… la lumière trop forte ! Elle est aveugle ! Non, ça revient doucement… le flou. Et cette soudaine cascade de souvenirs quand le cerveau réembraye ! Les yeux d’Alexandra papillonnèrent un moment encore avant qu’elle ne parvienne à les ouvrir complètement. Le lit dans lequel elle était allongée était cerné à droite et à gauche de rideaux verts, une batterie de machine étaient reliées à elle par de multiples câbles et autre tube. Le bip cessa lorsque une grande main appuya enfin sur un bouton… Le visage d’un homme mature, aux cheveux gris impeccablement coiffé, une blouse couvrant un couteux costume de tweed… Elle l’avait déjà vu… dans ce parking ! Il allait la tuer ! - Dr No : Calmez-vous Alexandra, calmez-vous ! Ne bougez surtout pas trop ! Les fils vont lâcher ! - Basileia : quels fils ! Laissez-moi sale psychopathe ! La main douce de l’homme se posa doucement sur sa joue puis sur son front pour la forcer à reposer sa tête sur l’oreiller. Elle n’avait pas la force de luter. - Dr No (d’une voix autoritaire) : j’ai dit calmez-vous ! Je viens de vous greffer un rein et il est hors de question que je vous laisse gâcher mon travail ! - Basileia : HEIN ??? - Dr No : hurler ne vous amènera à rien… Laisser moi deux minutes et après vous pourrez crier un grand coup si vous en avez encore envie. D’accord ? Basileia resta muette devant ce discours qu’elle estimait surréaliste. Son interlocuteur prit ça comme un feu vert à sa suggestion. - Dr No : Bon, en résumé vous êtes arrivée dans mon service à l’hôpital Georges Pompidou hier, criblée de balle et à deux doigts de la mort… Avec mon équipe nous avons réussi à éviter le pire, mais il a été nécessaire de remplacer l’un de vos reins tellement vos blessures étaient sérieuses… Les souvenirs de la fusillade dans le parc revinrent alors en mémoire à Alexandra qui poussa un énorme hoquet avant de fondre en larmes - Basileia : Oh mon Dieu ! Sam… Karumiko… Geniet… les autres… ils sont…. - Dr No : Bon, 30 secondes c’est déjà pas si mal… Nous nous sommes occupés d’eux, enfin de la plupart… Alexandra sentit son cœur se glacer au souvenir de l’épisode du parking quand ce monstre avait dit s’occuper du cas de ce policier… - Basileia (la lèvre tremblante) : vous… vous les avez tués ? - Dr No : Quoi ? Après le mal que je me suis donné à les soigner ? Ooooohhh… Je crois comprendre… le parking ? Alexandra se contenta de hocher la tête craignant d’en avoir trop dit et de risquer de déclencher l’ire du monstre. - Dr No : Non, ne craignez rien… je ne passe pas dix heures au bloc opératoire pour tuer mon patient à son réveil… Même si je lui en veux toujours d’avoir fait une belle bosse à un extincteur qui n’avait rien demandé… Bon, maintenant que j’ai votre attention, sachez, comme je vous l’ai déjà dit, que vous avez un rein presque tout neuf et qu’il va vous falloir pendant quelques temps en prendre un soin tout particulier. Maintenant que vous êtes suffisamment réveillée, on va vous transporter de la zone de réanimation dans votre chambre… (se tournant vers une partie de la pièce hors de vue) Nox ! Vous pouvez venir un instant ? Un beau jeune homme lui aussi en blouse approcha - Nox : Bonjour ! Ravi de vous voir réveillée ! - Dr No : Le Docteur Nox a été le premier à s’occuper de vous à votre arrivée. Vous lui devez la vie… Ainsi qu’à ce jeune homme ! Le médecin tira le rideau de gauche et Alexandra se retrouva nez à nez avec… son voisin bruyant du 5è ! Là assis dans un fauteuil roulant, une perfusion plantée dans l’avant-bras… - Félix Zazoir : la… la folle ! - Alexandra : Oh ! Mais que fait ce crétin des Alpes ici ? Le rire sans joie du Dr No doucha leur colère réciproque. - Dr No : Je vais devoir avoir une longue… non très longue conversation avec Dominique… je suis sur que c’est encore un de ses coups tordus pour ramener la paix sur notre pauvre monde… - Nox : Patron, ça va ? - Dr No : Oui, ma santé est parfaite et le restera pour l’éternité mon petit Nox… - Nox : (se tournant vers Alexandra) : Grace au don de ce jeune homme, vous allez vivre Mademoiselle… son rein filtre actuellement toutes les saletés qui autrement détruiraient votre corps à petit feu… Alexandra découvrit le même regard paniqué dans l’œil de Félix que dans le sien - Dr No : il fait un peu partie de vous maintenant Seul le reflexe du Dr No sauva leurs tympans du hurlement de la jeune femme lorsqu’il plaqua sa main sur sa bouche au lieu de boucher ses oreilles comme les autres témoins de la scène. Mlle Scarlett arriva alors : - Mlle Scarlett : ça va par ici ? J’ai cru entendre quelqu’un crier ? - Dr No (ne cillant pas malgré la morsure d’Alexandra dans sa main) : la situation est sous contrôle, et au pire je la ferai purement et simplement cesser… définitivement(constatant un relâchement soudain des mâchoires et un tremblement incoercible) Mais non, arrêtez de tout prendre au tragique ! Je ne vais pas vous occire ! Un petit coup de sédation fera l’affaire… - Félix Zazoit : mais… je n’ai jamais voulu… - Nox : … lui laisser savoir que vous étiez son sauveur, un véritable héros anonyme, je sais, je sais… Mais elle méritait d’être au courant ! Une telle générosité de cœur ne peut être laissé ainsi dans l’inconnu ! - Félix Zazoit : mais… Aïe ! - Nox : Oh pardon, je vous ai accidentellement retourné l’ongle… Venez, je vais vous mettre un peu de glace dessus et ça ira mieux… L’ombre de la violence dans les yeux du jeune interne calma les velléités de protestation de Félix qui se laissa conduire dans son fauteuil roulant vers une porte à l’autre bout. Édité le 25 March 2019 - 20:47 par Heretoc POURQUOI MOIIIIIIIII ? |
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- Mlle Scarlett : Heu docteur… si tout va bien… Mlle Nya m’a proposé de faire un tour avec elle pour… vous savez… Édité le 25 March 2019 - 20:43 par Heretoc POURQUOI MOIIIIIIIII ? |
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CHAP 24 POURQUOI MOIIIIIIIII ? |
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CHAP 25 POURQUOI MOIIIIIIIII ? |
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CHAP 26 POURQUOI MOIIIIIIIII ? |
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CHAP 27 POURQUOI MOIIIIIIIII ? |
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Une vieille dame qui promenait son caniche incontinent s’arrêta près de leur voiture pour laisser à son petit compagnon velu le temps de baptiser la roue arrière gauche de son urine. Elle se prit les pieds dans la laisse en repartant, tombant sur le trottoir dans un craquement de col du fémur et un petit cri aigu. POURQUOI MOIIIIIIIII ? |
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CHAP 28 POURQUOI MOIIIIIIIII ? |
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CHAP 29 POURQUOI MOIIIIIIIII ? |
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CHAP 30 POURQUOI MOIIIIIIIII ? |
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CHAP 31 POURQUOI MOIIIIIIIII ? |
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A la vue de ce baiser, Sam posa doucement ses doigts métalliques sur ses lèvres, le regard perdu dans le vague. POURQUOI MOIIIIIIIII ? |
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CHAP 32 Édité le 08 April 2019 - 18:02 par Arnaud75 POURQUOI MOIIIIIIIII ? |
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CHAP 33 Édité le 08 April 2019 - 18:03 par Arnaud75 POURQUOI MOIIIIIIIII ? |
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